Ce tableau porte ce titre :
dans l'attente de son retour...
Mais toutes ces toiles pourraient porter ce même titre, du moment qu'une lueur nous attire le regard,
la vie est là derrière des volets, derrière les rideaux, dans un petit bistrot, une histoire commence....
Ce jeu d'ombre et de lumière me plait beaucoup et la buvette du Moulin de la rue Lepic va beaucoup plaire à Antoine losque je vais lui montrer.
RépondreSupprimerJe sens comme un peu de mélancolie dans tes mots et je pense que le titre du tableau n'est pas choisi au hasard. Je sais aussi qu'il est question de convalescence. J'espère que rien est grave. Je n'ai pas de mail ou vous joindre . Désolée. Je vous embrasse tous les deux, ronrons à la tribu et tout particulièrement au beau Micio.
Ps : Une Url malveillante se promène sur chacun de tes blogs et bloque. Avast envoie un message d'alerte à chaque fois. Bisous
Beaucoup de mélancolie transparaît dans ce billet qui porte un titre si en accord avec le moment actuel. Tu as raison chacun des tableaux semble en attente des êtres qui hantent ces lieux, on pourrait entendre leurs rires ou leurs larmes au loin.
RépondreSupprimerBisous.
C'est Paris, mais il semble s'y mêler une ambiance dans l'esprit d'Edward Hopper. J'aime beaucoup le traitement de la lumière et le deuxième tableau m'attire plus particulièrement.
RépondreSupprimerEt nous pensons à Ange, en attendant son retour !
RépondreSupprimerBisous à vous deux et bon courage !
Coucou Danielle,
RépondreSupprimerLes halos des reverbères sont merveilleusement réussis ! C'est fantastique à regarder, on resterait là des heures... Le dernier tableau me met en joie.
Je comprends le nom de ce billet, et je te souhaite bon courage, à toi et à Ange,
Bisous Danielle et merci.
J'arrive sur le blog de Ange par je ne sais plus quel détour sur la toile et je suis happée par les toiles que j'y découvre. J'admire et pour aujourd'hui je préfère admirer en silence. Il y a des moments où les mots sont pauvres.
RépondreSupprimerBisous Danielle.